Société d'Histoire Les Rivières
Faire connaitre l'histoire locale de l'arrondissement les Rivières
En 1990-1991, la société Radio-Canada a connu un succès commercial et critique sans précédent dans l’histoire de la télévision québécoise et canadienne avec la diffusion de la télésérie Les filles de Caleb, dont l’action se déroulait entre 1892 et 1917. L’œuvre télévisuelle, inspirée du roman d’Ariette Cousture Les filles de Caleb. Le chant du coq, a reçu un accueil plus qu’enthousiaste de la part de son public québécois francophone…
Cela soulève en termes très directs plusieurs questions en rapport avec la mémoire historique. Comment celle-ci se forme-t-elle? Comment se transmet-elle? Qu’est-ce qui en influence les aménagements? Quelle perméabilité affiche-t-elle au changement? Il s’agit de questions exigeantes et nous souhaitons les aborder brièvement par l’intermédiaire d’une analyse de la représentation du passé véhiculée dans Les filles de Caleb, nommément du point de vue de l’urbanité, de la ruralité et des rapports interethniques entre Canadiens français et anglais.
(Source : Érudit, est un consortium interuniversitaire sans but lucratif composé de l’Université de Montréal, l’Université Laval et l’Université du Québec à Montréal. Il a pour mission la promotion et la valorisation de la recherche. www.erudit.org)
Conférencier : Frédéric Demers.
Frédéric Demers, née à Montréal, il poursuit des études supérieures d’histoire à l’Université Laval. Sa réflexion porte pour l’essentiel sur les rapports entre le passé, le présent et l’avenir dans l’aménagement de la mémoire collective au Québec. Il a ensuite enseigné cette matière à l’Université Laurentienne, à Sudbury. Aujourd’hui, il met à profit ses antécédents universitaires ainsi que sa plume riche et élégante dans l’équipe de langue française chez Anglocom (www.anglocom.com)
Gratuit pour les membres de la SHLR /
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